Le Liban a nommé le banquier d’investissement Ziad Hayek comme candidat à la tête de la Banque mondiale, le premier défi lancé par le choix du président Donald Trump pour diriger le prêteur au développement.
La nation du Moyen-Orient a soumis la candidature dans une lettre au conseil d’administration de la banque, a déclaré Hayek sur Twitter, en affichant également une copie du document.Il est jusqu’à présent l’unique challenger de David Malpass, haut responsable du Trésor, nommé ce mois-ci par le président Donald Trump.
Sous une coutume transatlantique informelle, le président de la Banque mondiale a toujours été un Américain, tandis que le directeur général du Fonds monétaire international a toujours été européen.Le conseil a annoncé qu’il choisirait le prochain président sur la base du mérite, mais certains experts appellent à la nomination d’un non-Américain en reconnaissance du poids croissant des marchés émergents.
Le conseil exécutif de la banque, qui représente ses 189 pays membres, aura le dernier mot.Il a donné aux nations jusqu’au 14 mars pour présenter des candidats et a annoncé qu’il publierait une liste restreinte de trois candidats au maximum, dans le but de nommer le prochain président d’ici la mi-avril.
Proud to have been nominated by Lebanon for the position of President of the World Bank Group!
Hayek est secrétaire général du Conseil supérieur de la privatisation et des partenariats public-privé au Liban, où il s’est employé à réformer les industries de l’énergie et des télécommunications du pays.Il était auparavant directeur général de la banque d’investissement Lonbridge Associates, consultant auprès du département d’État et membre du Council on Foreign Relations.
Le puissant groupe islamiste rebelle Ahrar al-Cham a annoncé mardi le début de “la “bataille” pour briser le siège imposé par les forces du régime syrien sur les quartiers sous contrôle des insurgés dans l’est de la ville divisée d’Alep (nord). Cette formation salafiste armée […]
DÉCRYPTAGE Scarlett HADDAD | OLJ10/12/2016 La petite phrase du ministre des Affaires étrangères Gebran Bassil sur la possibilité de dissocier les négociations sur un nouveau projet de loi électorale de la formation du gouvernement a ouvert la voie à différentes interprétations. Pour les uns, il […]