Une fois de plus, le président de la République libanaise, le général Michel Aoun, et le Premier ministre Saad Hariri ont dépassé les difficultés au Liban et ont formé le nouveau gouvernement après des mois de pourparlers démocratiques et de négociations pacifiques. Une fois encore, ils ont surmonté des obstacles complexes et des inconvénients majeurs pour faire en sorte que le Liban soit bien représenté par un gouvernement qui conduirait le pays vers la réforme tant attendue et la paix souhaitée. Tout cela ne s’est pas passé sans scrupules et critiques; pourtant, le mandat ferme n’a jamais faibli et a continué de travailler assidûment pour atteindre ses objectifs. Nous célébrons aujourd’hui la formation du nouveau gouvernement et anticipons une nouvelle ère de stabilité, de prospérité et de paix.
Le fait que les forces libanaises cherchent toujours à entraver les efforts du président et à créer l’apparence d’un échec et d’une tourmente imminente et sans fondement provoquée par la composition du nouveau gouvernement est toutefois déconcertant. Dans leur récente lettre au Congrès américain, les forces libanaises tentent de semer le doute sur le rôle des forces armées libanaises, de la FINUL, du président et des ministres des Affaires étrangères et de la Défense. Tout cela dans l’espoir d’obtenir le soutien et l’approbation du gouvernement des États-Unis afin d’obtenir une popularité tant attendue dans les communautés chrétiennes du Liban; une aspiration qui ne s’est jamais matérialisée, mais qui a continué de s’égarer avec la popularité et le succès croissant du Bloc Liban Fort du président Aoun. Il est évident que les forces libanaises ne veulent pas reconnaître qu’elles ne représentent qu’une (très) petite minorité de chrétiens au Liban.
Les forces libanaises ont choisi de ne pas souligner dans leur lettre les efforts constants et diligents déployés par le président Aoun et le ministre des Affaires étrangères, Gebran Bassil, pour obtenir le soutien et l’aide instrumentale du gouvernement des États-Unis. Ils ont ainsi renforcé les relations bilatérales entre Liban et les États-Unis. Ce que les forces libanaises n’ont pas mentionné, c’est l’alliance incontestable entre le Liban et les États-Unis, rendue possible grâce aux efforts louables du président Aoun et aux réalisations remarquables du ministre Bassil. Ce que les forces libanaises ont «oublié» de reconnaître, c’est le travail remarquable de l’Ambassadeur du Liban aux États-Unis, H.E. Gabriel Issa, qui a continuellement noué et renforcé les relations avec des sénateurs, membres du Congrès et autres hauts fonctionnaires de tous les États américains en ouvrant des lignes de conversations directes, en les invitant à des dîners à l’ambassade de Washington et en partageant avec eux des informations cruciales sur le L’armée libanaise, la FINUL, le retour digne et sûr des réfugiés syriens dans leur pays d’origine, la sécurité des frontières du Liban et, surtout, l’impact considérable de l’aide américaine au Liban. Tous ces efforts sont passés inaperçus dans la déclaration des forces libanaises, dans le but de saper leur ampleur et de vilipender leur impact positif sur le Liban-États-Unis. rapports. Heureusement, la vérité prévaut toujours. La vérité est que le président libanais et son groupe, le Bloc fort, ont travaillé avec loyauté et ténacité pour obtenir le soutien des États-Unis à l’armée libanaise, en renforçant le rôle de la FINUL, en atténuant les effets des sanctions américaines sur les banques libanaises et en préconisant le retour en toute sécurité des réfugiés syriens. La Syrie, qui préserve la souveraineté du Liban et intensifie le dialogue interconfessionnel entre toutes les sectes afin d’unir les Libanais et de leur insuffler le sens de la solidarité et de la tolérance.
Par conséquent, la méfiance à l’égard du gouvernement libanais que les forces libanaises tentent d’implanter est au mieux mal fondée. Leur lettre au Congrès ne transmet pas la véritable image du noble et réussi succès du Liban dans la préservation de son indépendance et le renforcement de son économie. C’est une autre tentative désespérée d’empiéter sur les réalisations honorables et réussies de notre puissant président. Dans son ton accusateur et vaincu, ce n’est rien de moins qu’une tactique manquée pour corrompre notre démocratie; Son but est de véhiculer un faux sentiment de fragmentation et une fausse image d’un conflit national.
Nous savons que sous le mandat du président Aoun, son «gendre», et du Premier ministre Hariri, le Liban est et sera toujours fort et uni. Nous sommes convaincus que de meilleurs jours sont à venir. En tant que Libano-Américains, nous représentons notre gouvernement, nous défendons notre Liban, nous représentons notre président. Nous soutenons ses efforts et son mandat pour un Liban meilleur, plus fort et plus uni.